Tiger's Vega sans doute le plus créatif et commercialement viable, réussi à composer les mots comme des puzzles. Les règles du jeux sont fait avec ''NOIR MAFIA'', un mélange explosif de rue alimenté par un état d'esprit d'organisation. Un sérieux gaillard robuste autant connue dans les couloirs du macadam que dans les coins enfumer des clubs. Loin de tous ce tumulte, l'histoire s'écrit avec 4-im k-Libre réputer pour ses sonorité lourd, saisissant le micro à tir rapide Vega et ses collègues ont écrit les contes de nos rue. Aujourd'hui, Tiger's Vega membre du label indépendant “Dustytrucks” continue a perpétué la tradition. Voici, une interview noir et mafieux comme on n'a pas l'habitude.
eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeN'M MOFUCK'ZZZZZZZZZZZZ
Job-Jaman : c'étais comment le rap ici par rapport à 2010, il y avait ni support médiatique, ni facebook ou autre support.
C'est vrai qu'il y avait pas tous ces moyens à disposition, mais cela ne m'a pas empêché de crée mon buzz avec mon ancien groupes "4im-K-libre". J'ai toujours été actif dans la rue, on avait une réputation de trouble fête et on jouait sur ça, c'était hood. Le net sa parle trop vite certes mais rien ne vaut les actes sur le terrain, sa fait du bouche à oreille et c'est parti tu te fait un nom. Dans cette époque on sortait en surnombres on avait un nom de click "Section Panza" et dedans y 'avait le 4IM-k-libre. On étais quatre renois qui lâchaient des putains de rimes. Nous on n'a commencé dans les centres de jeune, on n'était en compétition entre nous mais qu'on on sortait on était un block après avoir frotter sur du dance-hall, si on c'étaient pas embrouillé , c'était free style, improvisation contre des gars d'autres ville. je me rappelle, j'avais 15 piges on bougeait à Neuchâtel, Zurich et Bienne partout c'était notre facebook. Et a Lausanne, l'héritage qu'on n'a laisser au jeune c'est sa qu'on on sortait on crier "Lausanne, Lausanne", même les gras de Vevey, Montreux des alentours criait la capital vaudoise, on étais dans le même shooZ, je suis pas un mec des nostalgies maintenant aussi il y a des trucs que je kiff.
Ensuite, c'est une parenthèse qui s'ouvre tu as même mis un terme au rap et noir mafia débarque c'était quoi l'objectif ?
Job-Jaman : c'étais comment le rap ici par rapport à 2010, il y avait ni support médiatique, ni facebook ou autre support.
C'est vrai qu'il y avait pas tous ces moyens à disposition, mais cela ne m'a pas empêché de crée mon buzz avec mon ancien groupes "4im-K-libre". J'ai toujours été actif dans la rue, on avait une réputation de trouble fête et on jouait sur ça, c'était hood. Le net sa parle trop vite certes mais rien ne vaut les actes sur le terrain, sa fait du bouche à oreille et c'est parti tu te fait un nom. Dans cette époque on sortait en surnombres on avait un nom de click "Section Panza" et dedans y 'avait le 4IM-k-libre. On étais quatre renois qui lâchaient des putains de rimes. Nous on n'a commencé dans les centres de jeune, on n'était en compétition entre nous mais qu'on on sortait on était un block après avoir frotter sur du dance-hall, si on c'étaient pas embrouillé , c'était free style, improvisation contre des gars d'autres ville. je me rappelle, j'avais 15 piges on bougeait à Neuchâtel, Zurich et Bienne partout c'était notre facebook. Et a Lausanne, l'héritage qu'on n'a laisser au jeune c'est sa qu'on on sortait on crier "Lausanne, Lausanne", même les gras de Vevey, Montreux des alentours criait la capital vaudoise, on étais dans le même shooZ, je suis pas un mec des nostalgies maintenant aussi il y a des trucs que je kiff.
Ensuite, c'est une parenthèse qui s'ouvre tu as même mis un terme au rap et noir mafia débarque c'était quoi l'objectif ?
L'état d'esprit est toujours resté, fallait le faire évolué. C'est moi et "OG" qui sommes les fondateur de la Noir Mafia. Lui son aka c'est street life, ces histoire ont passé dans les journaux télévisé, radio et tout (Rire). C'est un ouff mon renoi !!! J'ai commencé avec le mot mafia, moi je kiffais que les films de gangster, je regardais que ca l'organisation, magouille la façon de penser et je me suis dit "fuck" le système et on fais le notre. J'aime quand les gens se disent, il se prennent pour qui ? "OG" est toujours "OP", on cherche un délire, il le perfectionne, on n'a dit business et on entre dans le business. Faut se faire de l'argent ! Il y a eu des erreurs et on s'est toujours relevés. Puis il y a eu un shop, organisation d'events, soirée, babecuits, défilé de mode.
Il y a plusieurs structure dans lesquels Tiger's Vega peut être appeler de Noir Mafia à Dustytrucks, là rencontre c'est fais comment ?
J'ai rencontrer Mark Angelli via deejaay Lord. On roulait ensemble c'était le DJ de "Dusty Boys", on s'est rencontrer ensuite on s'est présenté, jusqu'à aujourd'hui, c'est beaucoup plus que professionnelle. c'est de l'amitié. C'est lui et mon frelon OG qui m'on poussé à ce que je reprenne le micro. Alors, Mark m'a fait des instrus. J'ai collaboré dans des mixtapes avec lui, participé à des clip vidéo des scène, radio. Et je me suis mis à faire des mixtape dont "Hood Station Suprême Domination" qui à fait beaucoup de bruit et le 2em "Fuck bichtess get Money" qui est actuellement dans les rues.
On connais bien les ambassadeurs de ton groupe mais quel rôle occupe chacun des membres ?
Dj Shan lui c'est le DJ, "OG Matu" c'est le vice Président aka street life, Nel-B et P-Jay c'est la relève, les rappeurs c'est eux qui mettrons la pression. P Jay est patient super discret. c'est un bosseur, hustler quand il va sortir il va frapper tout le monde. Moi je suis le Parrain AKA le Président de la Suisse et d'autre.
C'est quoi l'actualité ?
Il y a "HooD Station 2" sorti en Mai qui tournes dans les shops, la rue, les soirées. Et plusieurs vidéo qui vont tourné sur le net facebook, youtubes et autres, un maxi single à venir et bien-sure la pression de mes N.M, soldier, Laisse bet !!!
En écoute : On tombe lourd
Photo : Piteshoot
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire